Vous craignez de ne pas réussir le mémoire du DSCG à cause du syndrome de la page blanche ? Vous vous demandez comment organiser la réalisation de ce travail essentiel ? Il est normal d’appréhender ce genre d’étapes. Heureusement, vous n’êtes pas la première ou le premier à préparer un diplôme de comptabilité.
En nous basant sur notre expérience, et surtout sur celle de nos étudiant(e)s, nous avons décidé de préparer ce guide pour valider cette étape dans les meilleures conditions.
Que ce soit au niveau de la rédaction ou au moment de préparer la soutenance… vous allez voir que de petits détails peuvent mener à un grand succès. Alors, comment mettre toutes les chances de son côté et réussir le mémoire lié au diplôme supérieur de comptabilité générale ?
Le mémoire du DSCG : quel est son intérêt ?
Toutes les études supérieures supposent la rédaction d’un mémoire, jumelé à une soutenance (une épreuve orale, donc – nous y reviendrons) permettant de le « défendre ».
Même si cela peut paraître pénible de prime abord, surtout pour celles et ceux qui n’aiment pas vraiment rédiger, c’est une phase fondamentale.
Nous tenons à vous expliquer pourquoi. En effet, mettre du sens sur une épreuve peut aider à la surmonter plus facilement ! Préparer, rédiger puis présenter son mémoire du DSCG permet d’acquérir (ou de compléter), entre autres, les compétences suivantes…
Habiletés rédactionnelles
Même si un expert-comptable n’est pas forcément un littéraire, il doit savoir expliquer, argumenter, démontrer. Savoir « écrire », donc, mais au sens académique du terme. On le remarque bien vite dans un stage professionnel : la communication est une pierre angulaire des métiers de la comptabilité. Le mémoire du DSCG est l’occasion de mettre en pratique vos aptitudes en termes de reformulation, de synthèse, d’illustration (donner des exemples, des arguments), etc. Il serait faux de penser que la finance n’est qu’un univers de chiffres et de graphiques ! Tant qu’il y a une dimension humaine, l’interaction joue un rôle capital.
Maîtrise des savoirs acquis au fil des modules d’enseignement
Les études de comptabilité couvrent un large spectre de thématiques. Du droit fiscal au droit social en passant par le contrôle de gestion ou encore… la comptabilité, évidemment, c’est tout un prisme de connaissances qui est couvert… et acquis, si tout se passe bien !Certaines d’entre elles seront davantage mobilisées que d’autres, en fonction du sujet de mémoire, certes. Mais ce sera justement à vous de mobiliser vos acquis et vos savoirs en cours de stabilisation.
Améliorer son organisation
Nous en reparlerons dans quelques lignes, mais planifier et rédiger un mémoire implique une organisation pointue. Se laisser dépasser par le temps conduit parfois à l’échec, d’autant qu’il y a systématiquement d’autres obligations à gérer : cours à suivre, heures de travail en cabinet, etc.
Affiner ses capacités de réflexion
Un travail de recherche comme celui qui est au cœur du mémoire pour le DSCG n’aborde pas les concepts de manière superficielle. Il ne s’agit pas que d’expliquer, mais aussi de réfléchir, de problématiser. C’est un excellent moyen d’aiguiser son esprit critique, et d’élargir sa vision de la société.
Entraîner ses talents d’oratrices/d’orateur
Même pour quelqu’un qui a fait des années de théâtre, par exemple, doit préparer sa soutenance. Le jour j, il faudra en effet maîtriser sa démarche. Vous devrez montrer, prouver que vous avez compris les enjeux du travail et que vous avez mené une réflexion organisée. Tout cela doit transparaître au mieux par oral.
Là encore, ce genre de capacités dépasse largement le cadre des études : on imagine mal, notamment, un directeur administratif et financier ne sachant pas s’adresser à un auditoire !Nous avons terminé notre panorama des objectifs d’apprentissage. Voyons maintenant ce qu’on vous conseille de mettre en œuvre pour réussir le mémoire du DSCG.
Réussir son DSCG : l’anticipation, une notion-clé
Le mémoire DSCG, appartenant à la catégorie des mémoires de stage, peut être considéré comme la consécration de vos études comptables. Pour cette raison, il se défend normalement à la fin du cursus. Lorsqu’on consulte le programme de la formation pour le grade Master, c’est d’ailleurs assez clair : ce grand travail de recherche correspond à la dernière unité d’enseignement (la 7e).
Faut-il, cependant, attendre le dernier moment pour choisir un sujet, faire ses recherches et rédiger ? Vous vous en doutez : la réponse est non.
N’hésitez (vraiment) pas à faire preuve d’anticipation. Cela permet de gérer son temps, de répartir les tâches, pour ne pas se laisser déborder. Voici quelques astuces allant dans ce sens.
Ne pas trop tarder à déterminer son sujet
Il ne faut pas improviser le choix du sujet. En effet, il vous « suivra » jusqu’au terme des démarches. Privilégiez une problématique qui vous intéresse vraiment. Et qui saura capter l’attention de vos examinatrices et examinateurs.
Pour autant, si vous hésitez trop longtemps, vous allez sans cesse retarder le début des recherches. Tentez de trouver un équilibre entre réflexion… et passage à l’action !
Rationaliser son emploi du temps
N’oubliez pas que les épreuves du diplôme sont nombreuses. Réfléchissez aux outils qui vous correspondent : un agenda papier, une application mobile, un calendrier… L’essentiel, c’est de ne pas se laisser dépasser par les échéances. Moins vous serez méthodique, plus cela générera de stress. Et vous risquez de ne pas être au meilleur de vos capacités.
Notons qu’il n’y a pas une seule formule gagnante en termes d’organisation individuelle. Cela dépend de votre manière d’apprendre, et d’aborder vos obligations de manière générale.Une chose est sûre : il n’est pas toujours facile de prévoir le temps que prendra telle ou telle tâche. Laissez-vous donc une certaine marge. Quitte à disposer d’un peu plus de temps libre au final !
Songer à la « magie » des plans
Les titulaires d’un diplôme d’état sont forcément attendus au tournant concernant la capacité à organiser, à structurer ses idées.
Le domaine de la comptabilité et gestion requière un sens de la hiérarchisation. Ce souci méthodologique devrait aussi s’appliquer à…
- Votre plan de travail, comme on l’a vu ci-dessus (dates butoir, différentes étapes, pauses…). Il est possible qu’il change. Cependant, vous aurez au moins une bonne base.
- Le plan de votre mémoire lui-même.
- Celui de la soutenance : il permet d’organiser votre présentation, pour ne pas perdre le fil et rester cohérent dans ses propos.
En explorant le net, vous trouverez des exemples ; des mémoires déjà terminés. Il ne s’agit évidemment pas d’en copier le contenu. Cela se révèle idéal, cela dit, pour se repérer. Ne serait-ce qu’au niveau de la structure. C’est justement ce point qui va nous intéresser maintenant. Réussir son travail final de DSCG, c’est tenir compte des annales. S’inscrire dans une « tradition », tout en parvenant à se démarquer.
Réussir son DSCG : se distinguer à partir d’excellentes bases
Chez IsupCompta, nous proposons une formation entièrement en ligne. Ce n’est pas pour autant que nous avons inventé notre propre contenu. Au contraire, nous suivons scrupuleusement le programme national, afin que la préparation au diplôme supérieur de comptabilité corresponde parfaitement aux exigences françaises.
Ainsi, deux approches se dessinent tout au long des études :
- L’apprentissage et l’assimilation de certains fondamentaux. Ceux qui doivent absolument être acquis pour trouver sa place dans le monde professionnel. L’alliage incontournable de théorie et de pratique, qui vous achemine vers de nombreux débouchés. Tout étudiant en comptabilité aura, par exemple, abordé des notions de droit des sociétés.
Ce socle commun, dans le cadre d’un mémoire de fin d’études notamment, débouche sur… - L’approfondissement des notions, et leur mise en perspective. Un bon mémoire est un mémoire qui vous fait réfléchir, tout au long du processus. Plus globalement, il donne à réfléchir au lecteur, au jury… et pourquoi pas aux futurs étudiant(e)s qui le consulteront !
Puisque les exemples sont souvent plus clairs que les notions générales, voici quelques pistes à explorer pour le choix du sujet.
- Déterminer l’impact d’une nouvelle loi sur les pratiques les plus répandues dans les métiers de la comptabilité.
- Se pencher sur un outil informatique en particulier et s’interroger sur sa place au sein d’un cabinet comptable. À l’heure de l’intelligence artificielle tous azimuts, il y a vraiment du matériel à exploiter.
- Interroger les leviers de défiscalisation et la manière dont ils évoluent au fil du temps. Que cela soit pour les entreprises ou les particuliers.
Et la liste ne fait que commencer.
Quoi qu’il en soit, n’oubliez pas qu’une fiche d’agrément doit être remplie par vos soins. C’est ce qui permet de faire confirmer le sujet. En tant que tel, le document fournit déjà des indices, des balises sur ce qui vous est demandé. Par exemple : les mots-clés, la problématique ou encore une bibliographie.
Afin de réussir son mémoire pour le Master (dit parfois « mastère ») de comptabilité et gestion, mieux vaut donc trouver un « angle d’attaque » innovant. Tout en restant bien sûr rigoureux et fidèle aux principes, aux concepts, aux préceptes étudiés pendant les cours et approfondis par des lectures personnelles.
Pour terminer cette série de recommandations, voici quelques propositions moins techniques.
Obtenir une bonne note au mémoire du DSCG : privilégiez une approche positive et équilibrée
Oui, cela ressemble à un mantra venant d’un livre sur le développement personnel. Pour autant, c’est vrai : s’engager avec optimisme et intérêt dans votre travail décuple vos chances de succès.
Plutôt que de considérer ce palier comme un fardeau, cherchez comment y prendre du plaisir. Même si le cadre général se veut plutôt strict, de nombreuses modalités sont envisageables. Il est possible de faire des sondages, d’exploiter des sources vidéo, pourquoi pas d’interroger des personnes concernées par la problématique.
Celles et ceux qui abordent leurs études trop mécaniquement risquent de « décrocher ». Les examens et concours les découragent tout autant que le mémoire. Et cela se ressent – bien qu’il y ait des exceptions – sur leurs résultats.Dans un registre similaire, ne négligez pas votre hygiène de vie. Bien dormir, bien manger… tout cela contribue à rester alerte et dynamique durant la préparation aux diplômes d’études supérieures. C’est encore une fois l’équilibre qui entre en jeu. Passer douze heures par jour sur son travail de recherche aura des effets délétères. Ne s’en occuper que de temps en temps, en revanche… compromet dangereusement vos chances.
IsupCompta : nos formations en ligne vous accompagnent jusqu’à la réussite
Nous n’avons pas pu tout aborder dans ce guide. Vous découvrirez certaines difficultés… ou au contraire certaines joies pendant la réalisation du mémoire.
Cela étant dit, si vous cherchez un cadre idéal pour passer le DSGC, nous vous invitons à consulter le reste de notre site internet.
En vous inscrivant à nos cours entièrement en ligne, vous optez pour une formation moderne, dont le contenu est accessible 24h/24. De l’anglais appliqué à la gestion de trésorerie, tous les sujets incontournables sont abordés.
Et au moment où le mémoire se profile, vous pouvez compter sur la réactivité de nos formateurs. Tout comme sur la fiabilité de notre équipe administrative.Car oui, réussir son travail de Master dans le cadre du DSCG, c’est aussi se tourner vers un cadre propice à l’apprentissage. C’est exactement ce que nous proposons chez IsupCompta.
Quelques astuces supplémentaires pour finir…
En bonus, nous vous livrons une série de conseils que nous n’avons pas abordé dans l’article, mais qui méritent d’être évoqués.
- Attention à l’aspect rédactionnel. Soignez l’orthographe, la syntaxe, le lexique… Une relecture s’impose, voire plusieurs.
- Aucun plagiat, même partiel, n’est envisageable. De nos jours, les logiciels de détection sont très puissants. Et plus important encore : vous ne vous développerez aucunement en copiant-collant le travail d’un(e) autre.
- Renseignez-vous soigneusement sur les normes relatives à la mise en forme (citation des ouvrages, mise en page, informations à faire figurer sur la page de garde…).
Ne négligez pas la communication avec la personne qui supervise votre travail. Votre implication et votre réactivité ont une importance réelle.
Contactez-nous dès maintenant, IsupCompta vous accompagnera de A à Z pour mener à bien votre projet.
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